Sunday, November 4, 2007

C

Ça ( = cela )

C’est un pronom démonstratif
Il s’utilise pour des nom masculins ou et féminins qui désignent une chose.

Je voudrais ça

Ça ne fait rien .

Il ne peut pas être le sujet de « être » au présent sauf s’il y a avant : tout , a la place de « ça » , on utilise « c »

C’est vrai , oui cela est vrai.
C’est impossible , ou cela est impossible

Mais : ça aurait été impossible sans vous
Tout ça est ennuyeux

Cardinal


On divise les adjectifs numéraux en numéraux cardinaux et en numéraux ordinaux.

Adjectif numéraux cardinaux : un , deux , trois , quatre ,... Cent , ...

Adjetif numéraux ordinaux : premier , deuxième , troisième , quatrième , etc

vingt , cent , mille


Cause

la propositions circonstancielle est une proposition subordonée qui exprime pourquoi on fait une action

Il ne travaille pas parce qu’il est malade.

L’action ou l’état qui est la cause peut aussi être exprimé par une propositions avec les conjunctions de subordination.

Comme , parce que , puisque plus rare étant donné que


1 . comme


exprime la cause , souvent la cause et le temps et se met de préférence en début de phrase .

Comme je n’avais pas le temps , j’ai téléphone pour me décommander.
Comme j’ai entendu du bruit , j’ai ouvert la porte.

2. parce que


« Parce que » exprime la cause et se met de préférence au milieu de la phrase.

Nous ne sommes pas restés parce que nous étions fatigués .

Il n’y a pas beaucoup de fleurs dans les jardins parce que le printemps a été froid.


3 . puisque


« puisque » ne répond pas à la question : « pourquoi » ?

La cause introduit par « puisque » est déjà connue.

On l’a hospitalisé puisqu’il était gravement malade

On connaissait pas déjà sa maladie , la nouvelle information
est l’hospitalisation .

on emploie « puisque » pour convaincre , quand on présente une information comme évidente.

distinguer :

nous recommençons parce qu’il a dit que c’était mal fait .

et :

nous recommençons puisqu’il a dit que c’était mal fait .

dans la première phrase on accepte le jugement de l’autre .
dans le seconde phrase on le refuse , on ne comprend
pas pourquoi l’autre trouve le travail malfait , mais on est obligé d’obéir.


4. étant donné que

« étant donné que » a la même sens que « puisque »

lorsqu’on veut nier qu’une action soit la cause d’une autre . on utilise les expression « non pas que » , « non que » , « ce n’est pas que » ( voir ce n’est pas que ).

( voir cause )


Ce

« ce » + nom est un déterminant démonstratif

J’ai entendu parler ce film

« ce » peut être un pronom démonstratif + pronom relatif

Il a choisi cette solution
Ce n’est pas que j’aurais choisi ( ce = solution )

Nous viendrons demain à 6 h
Ce n’est pas ce qui avait decide ( ce = venir à 6 h )

Il a eu peur de ne pas pouvoir bien le faire
Ce n’est pas ce dont j’aurais eu peur ( ce = ne pas pouvoir bien le faire )

As-tu pensé à notre projet
Ce n’est pas ce à quoi j’ai pensé ( ce = notre projet )


Ceci ( voir cela )

ce dont ( voir « ce » )

cédille


la « cédille » est un signe que l’on met sous le « c » : ç = cédille

il s’utilise avant : a , o , u . il se prononce [s]

plaçais [ plasε ] , plaçons [ plasõ ] , déçu [ desy ]


Cela , celle . celles celui ( voir pronom démonstatif )


Ce n’est pas que

« ce n’est pas que » + subjonctif exprime la négation d’une première explication de même que : « non pas que » , « non que ».

Nous irons au théâtre ce soir , ce n’est pas que nous aimions cela mais nous sommes invite

J’ai un gros pull , non pas qu’il fasse froid mais j’ai de la fièvre
Nous irons au bord de la mer ce été , non que cela nous plaise tellement mais c’est pour les enfants

Ce n’est pas la peine que ( voir conjonctive )

Cent( voir vingt , cent , mille )

Ce que et Ce qui ( voir ces )


Certain , certaine

« certain » peut être un adjectif qulificatif + de + infinitif si le sujet de l’infinitif est la personne qui est certaine .

Il signifie : sûr .
Êtes-vous certain de le lui avoir dit ?
Je suis certain d’avoir prism es clés .

On peut avoir : certain + que + verbe conjugué si le sujet du verbe conjugué n’est pas la même personne que celle qui est certaine .

Nous sommes certains qu’il se trompe.
Ils sont certains que tu les as vus

- « certain » peut être aussi un déterminant indéfini .

certaines personnes pensent qu’il a eu tort.

Certains scientifique sont contre ce nouveau médicament

- il peut aussi être pronom
Certains ne l’aiment pas , je ne sais pas pourquoi .


Ces, c’est


« ces » est un déterminant démonstratif . on a : « ces » + nom

« c’est » est un présntatif , il introduit un mot dans la phrase . on a « c’est » + déterminant + nom . distinguer

Ces amis et c’est un ami.
Ces problème et c’est un problème .

On a souvent : « c’est » + nom ou pronom + pronom relatif

C’est l’ami qui est venu hier
C’est un livre que j’ai acheté hier
C’est un film dont on a beaucoup parlé
C’est elle qui avait raison
C’est nous qui sommes en retard.


Cet , cette , ceux ( voir déterminants démonstratifs )


Chacun , chacune , chaque ( voir
déterminants indéfinis )

Chez


« chez » est une préposition qui désigne l’habitation de quelqu’un . elle est suivie d’un nom de personne , ou d’un pronom.

Chez le dentiste
Chez lui

Chose


« Autre chose » ou « quelque chose » sont des expressions indéfinies et invariables qui ne s’emploient que pour des chose

Essayons autre chose.
Parlons d’autre chose

Je voulais te dire quelque chose , je ne me rappelle plus quoi au juste .

Circonstanciel


Le complément circonstanciel est un mot ou groupe de mots qui complète l'action exprimée par le verbe sur les circonstances : lieu, temps, mesure, matière, etc. Ce sont des constituants à la fois facultatifs et mobiles (La presse a vivement réagi dès l'annonce du sommet; Dès l'annonce du sommet, la presse a vivement réagi; La presse a, dès l'annonce du sommet, vivement réagi).
Il est la plupart du temps introduit par une préposition.
Les compléments circonstanciels selon les circonstances qu'ils précisent sont habituellement divisés en :

- temps : Il viendra demain;
- manière : Il viendra en train;
- lieu : Il viendra dans cette maison;
- cause : Ils ont agi par jalousie;
- moyen : Il voyage en avion;
- comparaison : Il vit comme un ours;
Mais de nombreuses autres nuances sont possibles :
- but : Ils travaillent pour s'enrichir;
- conséquence : Il a réussi pour notre plus grande joie;
- concession : Il avance malgré sa douleur;
- condition : Si tu te prépares bien tu réussiras;
- matière : Il construit en terre;
- quantité : Ce buffet pèse cent kilos;
Donnant des nuances de :
- prix : Il coûte trois cents francs;
- poids : Il pèse cent kilos;
- distance : Il avance de deux mètres;
- etc.

Le complément circonstanciel peut être :

- un nom : Il viendra en train;
- un pronom : C'est pour elle qu'il est venu;
- un infinitif : Ils travaillent pour s'enrichir;
- un adverbe : Il a violemment réagi, Elle parle vite, Il viendra demain;
- un gérondif : Il avance en reculant;
- une proposition : Il partira quand vous arriverez.

( voir Les circonstancielles )


collectif : un nom collectif désigne un ensemble de chose ou d’être , mais ce nom est au singulier .

Combien

« combien » est adverbe de quantité , il s’utilise dans des questions.

Combien de sucre veux-tu ?
( style indirect ) tu peux me dire combien tu l’a payé

Comme ( voir comparaison , cause , temps )


Comment


« comment » est un adverbe interrogatif

Comment allez vous , ce matin ?

Il s’emploie aussi dans le style indirect .
Peux-tu me dire comment tu arrives à faire démarrer la voiture ?


Comparaison

La comparaison faire une comparaison .c’est dire si une qualité existe au même degré au ou dans divers objets .

Ce vase est plus cher que l’autre.

On compare le prix de deux vase.

Pierre est plus jeune que ton fils.

On compare l’âge deux garçon



1.On peut comparer deux qualités , la comparaison porte alors
sur un adjectif :

Pierre est plus malin que son frère

Ou sur un adverbe

Il marche beaucoup plus vite que nous



2 . on peux comparer deux actions , la comparaison porte alors sur deux verbes. Le deuxième est introduit par la conjonction de subordination « comme »

Il a parlé comme l’aurait fait son père.
Tu as agi comme je ne l’attendais plus

Le mode est l’indicatif , si l’action ou l’état est réel , et le conditionnel , si l’action ou l’état ne l’est pas.

Souvent , si l’on compare deux façons de faire la même chose , ou deux état , on utilisera le même verbe aussi n’est-il employé qu’une fois .

Il est dégoûté comme moi de cette decision.
Il s’exprime comme lui.

comparatif

le comparatif est la forme de l’adjectif dans une comparaison.

complément

le complément est un mot ou une proposition qui dépend d'un autre mot et en complète le sens.
On distingue :
le complément de l'adjectif : Un tonneau plein de vin
le complément de nom (ou de pronom) : la porte de la maison. Ceux de l'année dernière.
le complément d'objet direct (COD) : Il mange une pomme.
le Complément d'objet indirect (COI) : Il abuse de son amitié.
le complément circonstanciel : Il se promène sur le rivage. Il viendra après le repas. Il partira dans la matinée, etc .
le complément d'agent : La maison est construite par le maçon.
La plupart de ces catégories donnent lieu à des entrées particulières auxquelles vous pouvez vous reporter en cas de besoin.

D'autres compléments, moins fréquents ou moins indispensables à l'analyse, ont été laissés de côté : complément de l'adverbe, complément de l'adjectif, complément de l'infinitif, complément du présentatif .

Complétive et correlatives

( voir LES SUBORDONNÉES )


concordance de temps


La concordance des temps est la correspondance qui existe entre le temps du verbe de la proposition principale et celui de la proposition subordonnée.

J’ai dit que je l’avais brisé.

La proposition subordonnée exprime un fait qui passé par rapport à l’action principale qui est elle aussi au passé. Mais elle pourrait fort bien être antérieure, simultanée ou postérieure par rapport à cette action principale.

Dans le tableau, les différentes correspondances ont été envisagées en fonction du sens et de la chronologie. Souvent le choix est possible. Il faut alors employer le temps qui reflète au mieux la pensée.

( voir Ce tableau, )

que nous n'avons pas voulu surcharger d'exemples, régit l'emploi des temps des verbes en fonction du sens et de la chronologie. Vous remarquerez que le choix existe très souvent, particulièrement lorsque l'action subordonnée est antérieure. Il faut donc choisir le temps qui reflétera le mieux la pensée, le temps qui servira au mieux la nuance ).

La concordance des temps est liée à l'étude des propositions et vous trouverez de nombreux renseignements à l'étude de chaque type de propositions. Nous vous conseillons de consulter selon vos besoins les objets suivants : complétive par "que", complétive interrogative, temporelle, causale, consécutive, finale, concessive, comparative et conditionnelle où sont présentés les temps et les modes après "si".
Pour ne pas trop malmener la concordance des temps, il faut, devant une propositions subordonnée se poser une première question. Le verbe de la subordonnée est-il à l'indicatif ou au subjonctif. De cette première réponse vont dépendre les possibilités liées aux temps.


Lorsque le verbe de la subordonnée est à l'indicatif : tous les temps sont possibles si la principale est au présent ou au futur. On utilise le temps comme si la subordonnée était une indépendante.
Je croit qu'il dort maintenant.. Je crois qu'il a dormi ce matin. Je crois qu'il dormait lorsque je suis entré…

Si le verbe de la principale est à un temps du passé, la subordonnée se conjugue :
- à l'imparfait ou au passé simple lorsque le fait est simultané.
Il a dit qu'il ne dormait pas lorsque je suis entré. Il me parla dès que j’entrai;
- au conditionnel présent ou au conditionnel passé si le fait est postérieur .

Il a dit qu'il serait absent demain;

- au plus-que-parfait ou au passé antérieur si le fait est antérieur.
Il a dit qu'il avait dormi avant mon arrivée. Il se leva dès qu'il prît son médicament.
Le présent de l'indicatif dans la subordonnée peut exprimer un fait intemporel non soumis à la règle des temps.

Jean m'a dit que l’argent se dépense trop vite.

* Lorsque le verbe de la subordonnée est au subjonctif et que la principale est au présent ou au futur, la subordonnée se met :

- au présent du subjonctif si le fait est simultané ou postérieur.
Il demande que tu prennes l’avion immédiatement. Il voudra que tu prennes l’avion tout de suite. Il préférera que tu arrives demain.

- au passé du subjonctif si le fait est antérieur.
Il se doute que tu n’aies pas voulu le rencontrer.

Si elle est à un temps du passé, la subordonnée se met :

- à l'imparfait du subjonctif si le fait est simultané ou postérieur
Nous avons souhaité qu'il prît l’avion immédiatement.

- au plus-que-parfait du subjonctif si le fait est antérieur.
Il voulait que tu fusses arrivé avant son départ.

Après un conditionnel présent, si le verbe de la subordonnée doit être au subjonctif, il se met au présent ou à l'imparfait.

Je voudrais qu'il arrive avant son départ ou Je voudrais qu'il arrivât avant son départ


Condition ( voir CONDITIONNEL)

conjonctive


conjonction

La conjonction : est un mot qui peut jouer deux rôles dans une phrase
- Servir de lien entre deux mots, deux propositions de même nature. On l'appelle conjonction de coordination : Mais, où est donc, or, ni, car, donc, aussi, cependant...
- Unir deux propositions dont l'une dépend de l'autre. On l'appelle conjonction de subordination : Si, comme, quand et la conjonction que avec tous ses composés : quoique, lorsque...
NB : Une conjonction composée de plusieurs mots prend le nom de locution conjonctive : Afin que, ainsi que, à moins que, avant que, dès que, parce que, pourvu que, tandis que...

A. Les conjonctions de coordination

Les conjonctions de coordination : et, ou, ni, mais, or, donc, car ont des emplois spécifiques et d'autres comparés à ceux de certains adverbes ou locutions adverbiales, comme puis, ensuite, toutefois, néanmoins, cependant, pourtant, ainsi, aussi, par conséquent, en effet, etc.
Et - marque l'addition. Dans l'énumération, seuls les deux derniers termes sont coordonnés par et : Écrivez un lettre, un texte, un roman, une pièce et une poésie.
- coordonne des propositions. il exprime diverses nuances, en rapport avec le sens de ces propositions, notamment la succession dans le temps : Prenez ce pont et continuez toujours tout droit ou la conséquence : La salle se vidait et on ne sentait plus le bonheur des spectateurs.
Ni - coordonne des éléments de rang identique dans une structure négative. Il fonctionne comme un équivalent de et…ne pas. Il est souvent répété devant chacun des termes niés : Elle n'est ni belle ni laide; ni l'un ni l'autre n'est revenu.
Ou - marque dans la plupart des cas une alternative : Vous préférez la France ou le Québec ? C'est ça ou rien, dont le caractère exclusif peut être souligné par la locution ou bien : Ils sont ou bien en avance ou bien en retard.
Entre les deux derniers termes d'une énumération, la locution ou encore exprime une possibilité complémentaire : Vous pouvez prendre le train, l'avion ou encore votre voiture.
Ou peut aussi indiquer une équivalence entre un terme rare et un terme plus courant ou une expression définitionnelle : La géodésie, ou étude de la forme et de la dimension de la terre. Dans ce cas, le second élément est employé sans déterminant.
Mais peut relier des mots : Il est vieux mais efficace, des propositions ou des phrases. Sa valeur permet d'opposer un élément à un autre en vertu d'un raisonnement implicite. Ainsi, dans Il avait un bon résultat mais il a recommencé l'opération, va à l'encontre de ce que la première proposition laissait attendre.
Or, donc et car ne peuvent relier que des propositions.
Or sert à introduire un nouvel élément dans un enchaînement d'arguments : Il raconte une belle histoire, or, j'étais avec lui et tout est faux.
Donc sert à introduire un élément qui a la valeur d'une conséquence. Il fonctionne exactement comme un adverbe du type par conséquent.
Car n'est pratiquement employé qu'à l'écrit. Il indique que la seconde proposition est une explication de la première : On le su, mais un peu trop tard, car personne n'écoutait la radio.

B. Les conjonctions de subordination

Les conjonctions de subordination (que, quand, lorsque, comme, si, puisque, etc.) et les locutions conjonctives, conjonctions composées de plusieurs mots (alors que, parce que, depuis que, avant que, bien que, de telle sorte que, si bien que, à moins que, etc.) servent à introduire diverses propositions circonstancielles (de temps, de cause, de but, de conséquence, de concession, d'opposition, de condition, de comparaison).
Que introduit les propositions subordonnées dites complétives : Je sais qu'il est tard.
La signification des conjonctions est liée à celle de la subordonnée qu'elles introduisent. Certaines servent à la fois à l'expression du temps et de l'opposition : alors que, qui.

Conjugaison


La conjugaison des verbes comportent un certain nombre d'irrégularités. Certains verbes sont défectifs ; ils ne possèdent pas la totalité des formes possibles (falloir, faillir, clore, éclore, choir, seoir).

Les verbes sont répartis en 3 groupes en fonction de la terminaison de leur infinitif :
Le premier groupe est constitué par des verbes ayant un infinitif en -er (parler, marcher).
Le deuxième groupe est constitué des verbes ayant un infinitif en -ir et le participe présent en -issant (finir).
Le troisième groupe est constitué des verbes en -oir et en -re ainsi que les verbes en -ir dont le participe présent est en –ant. (devoir, vendre, croire, naître, courir).
Les verbes du premier groupe suivent pour la plupart le modèle régulier du verbe chanter. Ceux du deuxième groupe se conjuguent régulièrement sur le modèle du verbe finir.
Le troisième groupe regroupe les conjugaisons les plus irrégulières, caractérisées notamment par les variations des radicaux (tenir, tenons, tiendrai; savoir, savais, saurai, su).
Il y a sept modes différents dans la conjugaison : indicatif, subjonctif, conditionnel, impératif, infinitif, participe, gérondif.

Les modes indiquent l’état d’esprit de celui qui parle. Il donne un ordre, exprime un souhait, constate un fait. Ils comportent des temps du passé, du présent et du futur, en formes simples et composées.

Les formes des temps composés sont plus régulières que les formes simples. Elles sont toutes construites avec un auxiliaire (être ou avoir) conjugué à un temps simple et un participe passé du verbe conjugué.

L'indicatif, le conditionnel, le subjonctif et l'impératif sont des modes personnels et temporels.
L'indicatif, qui est le seul mode à comporter des temps du présent, du passé et du futur. Il présente l'action verbale comme actuelle.

Le présent de l'indicatif a pour terminaisons -e (ou -s) -s, -e (-t ou -d), -ons, -ez, -ent. Il exprime la coïncidence entre ce que l'on dit et le moment où on le dit : En ce moment, j'écris mais il peut exprimer une action qui se répète ou se continue : Il neige depuis deux jours ou des vérités générales : L'argent n'a pas d'odeur.

Le futur est formé d'une base de radical du verbe (qui coïncide parfois avec l'infinitif) suivie éventuellement d'un (e), d'un -r et des terminaisons -ai, -as, -a, -ons, -ez, -ont. L'emploi du futur situe l'action dans l'avenir : Je viendrai demain ou illustre le futur dit historique : 1899 verra sa naissance.

L'imparfait de l'indicatif a pour terminaisons -ai-s, -ai-s, -ai-t, -i-ons, -i-ez, -ai-ent. Il permet de décrire une action prise dans sa durée ou dans son caractère répétitif et non comme un fait ponctuel : Nous prenions le train chaque matin.

Le passé simple a des formes très irrégulières. A la première personne, les terminaisons peuvent être : -ai, -is, -us, -ins, à la deuxième -as, -is, -us, -ins, et -a, -it, -ut, -int pour la troisième. Aux deux premières personnes du pluriel, on ajoute un accent circonflexe (-âmes, -îmes, -ûmes, -înmes ; -âtes, -îtes, -ûtes, -întes) alors que les terminaisons de la troisième personne du pluriel, les formes sont -èrent, -irent, -urent, -inrent. Le passé simple, qui n'est plus guère utilisé dans la langue orale contemporaine. Il exprime une action révolue au moment où l'on parle : Il naquit en 1899.

Les temps composés de l'indicatif : le passé composé, le plus-que-parfait, le passé antérieur et le futur antérieur, sont formés d'un auxiliaire conjugué au temps simple correspondant, respectivement le présent, l'imparfait, le passé simple et le futur, suivi du participe passé du verbe conjugué.

Le conditionnel est un mode qui présente des faits soumis à une condition.
Le présent est formé d'une base de radical qui coïncide parfois avec l'infinitif, suivie parfois d'un (e), d'un -r et des terminaisons -ais, -ais, -ait, -ions, -iez, -aient. Le conditionnel figure dans la proposition principale des subordonnées de condition : Je viendrais si j'en avais la possibilité. Le passé a une formation est régulière comme celle de tous les temps composés, indique qu'une éventualité n'a pas été réalisée.

Il serait parti s'il avait eu un véhicule.

Le subjonctif est un mode qui présente l'action verbale comme virtuelle. Il figure notamment dans des propositions subordonnées complétives introduites par des verbes exprimant la crainte, le doute, le souhait ou servant à donner un ordre, à exprimer un désir, une volonté ou une éventualité On craint qu'il ne neige. Je veux que tu partes.

Le présent est formé d'une base de radical (pour les verbes du deuxième groupe du type finir, ce radical est le radical en -ss- du participe présent finissant) et des terminaisons -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent (à l'exception de aller, être et avoir)

L'imparfait n'est plus employé en dehors du registre littéraire, a, pour les verbes en -er du type chanter, des terminaisons en -asse, -asses, -ât, -assions, -assiez, -assent.. L'accent circonflexe est une caractéristique de la troisième personne du singulier. La formation des temps composés, passé et plus-que-parfait, est régulière.

L'impératif est un mode qui sert à l'expression de l'ordre.

Au présent, ses formes sont identiques à celles du présent de l'indicatif de la deuxième personne du singulier et du pluriel, et de la première personne du pluriel (mange, mangeons, mangez), à l'exception de être et de savoir (sois, soyons, soyez; sache, sachons, sachez).
L'infinitif et le participe sont des modes non personnels et non temporels. Ce sont des formes nominales du verbe.

Le participe présent, caractérisé par la désinence -ant, est invariable sauf s'il est utilisé comme adjectif verbal. L'orthographe de l'adjectif verbal peut être différente de celle du participe passé (négligeant, négligent ).

Le participe passé a des formes en -é, -i ou -u et comporte des formes simples et des formes composées constituées d'un auxiliaire au participe présent et du participe passé (ayant parlé). Il sert à la formation de tous les temps composés, quel que soit le mode, et a également des emplois en tant qu'adjectif.

( voir Conjonctions et prepositions )

connaissance ( voir conjonctive )

conséquence


la proposition circonstancielle de conséquence est une proposition subordonnées qui exprime le résultat d’une action ou d’un état.

Il fume tant que sa veix est abimée .


couleur ( voir adjectif couleur )

coupure en syllabe


lorsqu’on écrit et qu’on n’a pas la place à la fin d’une ligne pour écrire un mot en entire , on coupe le mot à la fin d’une syllabe , mais:

- on ne sépare pas deux voyelles :
Aé - et non a -
Rien érien

- lorsqu’on a la suite : consonne voyelle consonne voyelle etc,
On coupe après la voyelle .
Re- mé ou ména- te
Pas nage , ge nions

- lorsqu’on a la suite : voyelle consonne consonne voyelle etc,
On coupe entre les deux consonne
es- ap- es- im- his -
suyer , prendre , poir , meuble, toire

- si les deux consonnes écrites représentent un son , on ne peut pas couper
a- géogra- arith- bourgui-
cheter phie métique gnon

- si les deux consonnes sont : consonne + r ou consonne + l , on ne peut pas couper
â- exem- mais: souf-
cre ple fle

é - mais: ap-

crit pris

- lorsqu’on a « x » ou « y » on nepeut couper ni avant ni après
exa- maxi- ap- en-
men mum puyer nuyer

couru

« courir » est un verbe intransitif , il n’a donc pas de complément d’objet direct , on ne fait pas l’accorde même chose pour « coûter » , « pesé » , « valu » et « vécu »

Cru et crû

Ne pas confondre : « cru » : participle passé du verbe « croire » et « crû » : participle passé du verbe « croitre » . l’accent circonflexe ne se trouve qu’au masculin pas au féminin.